mercredi 29 novembre 2006

Des remoamoamoa!!

 

 

1) si j'étais un gâteau : Le gâteau au chocolat d’une mamie.

 

2) si j'étais une musique : le thème de « eternal sunshine» ou celui de « Garden State ».

 

3) si j'étais une chanson : Play with fire (Stone).

 

4) si j'étais un animal : Une araignée qui fait du vélo !! ;)

 

5) si j'étais un manga : Gunnm.

 

6) si j'étais une bd : ....Les tuniques bleues.

 

7) si j'étais un super pouvoir : La télétransportation.

 

8) si j'étais un film : Eternal Sunshine Of The Spotless Mind.

 

9) si j'étais un site web : Mon blog ?

 

10) si j'étais un langage : l’Esperanto.

 

11)  si j'étais une voiture : K2000

 

12) si j'étais un film d'animation : Mon voisin Totoro

 

13) si j'étais une réplique de film :

 

 -Non........Tu peux pas faire ça......

 

.....T'en vas pas!!!...............

 

Ne pars pas...s'il te plait....

 

Personne n'est jamais resté aussi longtemps avec moi....si tu t'en vas j'...   si tu t'en va ....je sais pas ! Ma mémoire a fait beaucoup de progrès depuis qu'on s'connait!:

 

P.Shermann, 42 heuuu...40....deux! rhooo ça va m'revnir!j'en suis sure! C’est là! je sais qu'c'est là quelque part! Il suffit qu'j'te rgarde pourqu'   ça rviennent...............Il suffit qu'jte rgarde dans les yeux et je m' sens.....je m'sens chez moi......s'il te plait....jveux pas que tu t'en aille....jveux plus oublier....

 

(Dorie, dans le monde de Némo.)

 

14) si j'étais courageuse : J’irai chez le dentiste

 

15) si j'étais naïve : c’est pas le cas ?

 

16) si j'étais une religion : ……l’épicurisme ? L’hédonisme ….ça marche pas ça ?

 

17) si j'étais une peur : Vide, Araignée…..Douleur

 

18) si j'étais une photo : je sais po, si j’étais une photo je serai une de celles qui questionnent et qui font se sentir bien à la fois !! Si j’étais une photo, je serai aussi juste un moment, un passage, une impression de transition.

 

19) si j'étais un monument : je serai…un phare

 

20) si j'étais un jeu : je serai le burger quiz !! C’est trop méchamment drôle !!

 

 

 

jeudi 23 novembre 2006

tralali lala!!! lalilala!!!

Moi j'aime bien les ptits truc à la con!!! Et la!! c'est vraiment tordant à mourir de rire de pas très intelligent...bref, ça fait juste beaucoup rire.

KLIK et va voir!!!!

Et pis ya lui aussi!!;)

 

Merci à Gally pour tout ces trucs fun!!

mercredi 22 novembre 2006

zzzzzzzzzzzzeeeennn......

 

La mousse c'est  zen comme truc non?....

Allez!! une Affligem s'il vous plait....

Maaaaaaaaarre!!!!!

HO!!!! Mais j'en peux plus!!! Trop de taf, trop de chose à faire, trop de pression!!!

Et quand enfin vous trouvez une solution pour souffler un peu c'est pire!!!

Voilà!! à croire que c'est rééllement comme ça que ça marche: moins ça va, moins ça va!!!

Mais c'est pourtant pas mon tempérament habituel....oui non mais là....là....

Là c'est too much for me, alors je vais aller m'enfouir dans mon lit ou ma baignoire...il ne reste plus que ça...en esperant y trouver un peu de réconfort!!!

.....sinon je tente le hurlement primaire?

mardi 21 novembre 2006

Garden State Zach Braff-Un grand, grand, grand!! moment.

Moment magnifique de cinéma!!! Oserai-je le comparer à "eternal sunshine"....?

En tout cas...ben j'ai adoréééééééééééééé!!! Un vrai miracle dans le dedans de mon corps!!!

 

 

Garden State

Réalisé par Zach Braff
Avec Zach Braff, Natalie Portman, Ian Holm
Film américain. Genre : Drame
Durée : 1h 42min. Année de production : 2004
Distribué par Buena Vista International.

Synopsis:
Acteur de télévision, Andrew " Large " Largeman est obligé de retourner dans son New Jersey natal pour l'enterrement de sa mère. Soudain, il se retrouve sans les antidépresseurs et les 3000 kilomètres qui le protégeaient de son histoire...
Après neuf ans d'absence, Large revoit son père, un vieil homme dominateur, mais aussi tous ceux avec qui il a grandi. Ils sont aujourd'hui fossoyeur, employé de fast-food ou magouilleur professionnel...
Sa rencontre avec la jolie Sam va le bouleverser encore un peu plus. Elle est son exacte contraire, vivante et audacieuse.
Entre passé et futur, entre douleur et joie, Large va découvrir qu'il est peut-être temps de commencer à vivre...

 

Un moment d'émotion et tellement plus!!! Enfin honnetement c'était magique!!Mais en dehors de mon rapport avec Eternal sunshine et du synopsis....je ne vous en dit pas plus, ça se passe de commentaire!!! Mais je vous engage vivement à le voir!!!

C'est GRANDIOSE!!!!!......enfin....c'est mon avis!!!

 

 

Dites les gens que je connais bien et qui connaisse mes amis, le mossieur sur la photo, il vous rappelle personne!!!????

WAOUH!!!!!!

dimanche 19 novembre 2006

Rien ne passe,

Rien ne passe,

Il est des gens exclusifs qui ne supportent pas l'idée que tout se partage, qui ont besoin d'un domaine d'exclusivité qu'ils construisent cependant bien souvent en s'inspirant des autres. Les choses que l'on ne veut pas partager, ce sont les choses qui nous appartiennent et que l'on garde pour soi, toujours. Et il est vrai que nous gardons tous (heureusement) notre jardin secret et notre espace d'intimité, mais il est tout aussi vrai que les gens n'en font jamais partie.

On ne gagne rien a croire que les gens nous appartiennent, ni même à les caser, là, dans un rôle que l'on veut leur attribuer ou bien à faire d'eux la seule image que l'on veut en avoir. Les gens qui nous entourent, si on les aime un tant soit peu et lorsque l'on a un brin de respect pour eux, méritent d'être regardés pour de vrai et considérés pour ce qu'ils sont réellement, pas pour ce que l'on y voit.

Ces fameuses personnes ne regardent pas les autres pour voir en eux leur essence, pas plus qu'il ne savent regarder avec lucidité en eux même. Il est tellement irrésistible de chercher à ranger les autres dans leur vie là où ca peut (ou pourra) servir!! Un endroit où ça plait bien et où ça arrange plutot pas mal en faisant fi de tout le reste. Et il est effectivement tellement difficile de se remettre en question et de chercher à comprendre et connaitre ceux qui ne sont pas nous!!! Illusion malsaine de comprendre que différences, divergences comme amitiés et points communs sont porteurs de richesses.

Passons alors de l'amour à la haine avec aisance!! c'est tellement facile quand de toute façon, on n'aime pas plus qu'on ne hait!!

On ne connait les gens qu'après avoir mangé avec eux 100 kilos de sel....

Moa,Moa,Moa......j'adooooore!! lol

Ca faisait méga longtemps que je n'avais pas fait un truc comme ça et j'adore!! alors voilà, celui la viens de chez ma bulle, le petit blog sympa au lien qui suit!! D'ailleurs merci mademoiselle!!

1. le film : eternal sunshine of the spotless mind
2. le livre : Si par une nuit d’hiver un voyageur
3. l'auteur : Bernard Werber
4. le réalisateur : Je sais pas
5. l'homme politique : Jamais !!!
6. le peintre : Degas
7. le tableau : L’étoile (Degas)
8. le monument : Notre bonne mère
9. l'évènement historique : La séparation de l’église et de l’état
10. l'évènement contemporain : Le dernier concert des Rolling stone à Nice !!!
11. l'acteur : Edward Norton, Nicolas Cage, Kevin Spacey.
12. l'animateur : Alain chabat dans burger quizz
13. l'humoriste : Jamel
14. l'animal : Le matou
15. le jeu : Final fantasy 7
16. l'émission : burger quizz
17. l'objet : N’importe quoi qui met de la musique dans ma vie.
18. la pièce de la maison : La salle de bain
19. le meuble : Mon dodo
20. le moment de la journée : Le moment où le soleil se couche
21. la date : Le 16/06/1983 ben oui hein !! c’est ma date à moi la date de mon apparition !!
22. le pays : Marseille
23. la ville : Marseille LOL
24. le vêtement : Un manteau doudounant ou un maillot de bain !! ou un corset lacé...
25. le moyen de transport : Ma voitu !! mon ex voitu-vache et ma nouvelle voitu de femme d’affaire !! ;)
26. le mot : procrastination ( c’est pas ma faute si je suis une fenéante cultivée…..)
27. la qualité : La joie de vivre
28. le défaut :l’ égoïsme
29. l'aliment : le chocolat
30. la religion : agnostique
31. le religieux : Le mec qui inventa la bière !!
32. la boisson : Bine !!!
33. la partie du visage : Les yeux
34. l'amour : lui
35. le pire : pas savoir dire
36. le meilleur : la vie
37. la matière : le velours
38. la douceur : un baiser
39. le restaurant : L’important c’est pas ce que l’on mange mais plutot avec qui on mange !! Mais si on peut en plus avoir vue sur la mer…alors là…
40. la douleur : Les dentistes… ?
41. le passé: des rencontres, pleins de jolies histoires, des joies et des peines, plein de folie du spectacle : du bonheur.
42. l'avenir : du bonheur, et de la folie du spectacle saupoudrés de truc de grands !!!! lol sniff et cool à la fois !!
43. le prénom : le votre
44. le son : pouick pouik oumba !!!
45. la lettre : A (ça mange pas de pain)
46. le sport : unhun…..course, escalade, roller, natation, moi je suis une méga sportive !!! (qqn y a cru ?...)
47. le sportif : Kitou, discipline bièrathlon.
48. le scandale : La disparition, au su et au vu du monde entier, d’une nation nommée Palestine.
49. la température : 31,6 Impec !!!
50. le sentiment : L’amour
51. le temps : Soleil un jour, soleil toujours.
52. l'arbre : Le saule pleureur, comme dans Pocahontas parce que c’est un arbre d’amoureux ! et le mimosa aussi parce que lorsque c’est en fleur c’est tout moelleux !! c’est doux et ça sent trop bon !!
53. la fleur : Le lilas mais le muguet aussi !! parce que les deux c’est mignon et ça sent bon !!
54. la lumière : Celle que je trouve dans les yeux des enfants !!
55. la maladie : La folie qui rend la vie tellement plus belle !
56. le paysage : La vue par dessus le bastingage du voilier.
57. l'expression : C’est ça qui est bon !
58. l'onomatopée : pouet pouet camion ?
59. le dessous : pas mal
60. le dessus : vachement bien aussi !!
61. la pièce : « Faut pas payer » de Dario Fo
62. le secret : le secret ? c’est qu’il n’y en a pas !
63. le souvenir : Ils sont tous moi .
64. l'odeur : Celle du garçon que j’aime.
65. la moitié : j’y ai cru ; depuis j’ai arrété toutes les moitiés, je fais tout à 100% !!!
66. le fou rire : un jours sur deux….épuisant, mais tellement bon !!
67. les larmes : rares mais violentes !


68. la porte : j’aime pas les portes !!!
69. la saison : l’été bien sur !!
70. la famille : la mienne !!! sans hésiter !! culte de la folie et de nous même !! ;) allez viendez ! on accepte tout le monde !
71. l'amitié : Empathie, Sincérité et Partage.
72. l'eau : Le début et la fin de tout !!! Une de mes plus grande passion : la mer !!
73. le ciel :
74. le rêve :
75. le petit air insupportable qui vous reste dans la tête toute la journée : 76. le gros mot : J'en dit absolument jamais....à part la ponctuation marseillaise putain con!! ;)
77. l'insulte : Poufiasse de merde
78. la déclaration : pour l'instant? aucune déclaration à faire! 
79. la peur : la peur de la peur, ou la peur d’avoir mal. (pas mal hein !!? ) 80. le refuge : Mon papa, ma couette ou ma baignoire selon les cas.
81. la mode : la mienne
82. le parfum : Alchimie de Rochas, Rush de Gucci(homme). Les deux n’existent malheureusement plus…
83. le dessert : ……trop difficile de répondre à ça… tous ?
84. l'invention : La téléportation….et il faudrait qu’ils se bougent !!!
85. la position : Toutes !!!!!
86. la légende : ......bah je sais pas je réfléchi encore!! ;)
87. le proverbe : Le tact dans l'audace c'est de savoir jusqu'où on peut aller trop loin. Et bien d’autres !! mais en ce moment ça j’aime beaucoup !!!
88. le métier : Institutrice !!!!!!
89. la passion : un million et demi ; mais pour généraliser : LA VIE
90. l'ennui : Jamais, jamais !!!!
91. l'image : L’ange rouillé, de Yukito Kishiro.
92. le mystère : Le petit truc qui fait que l’être humain pleure, rit, s’aime ou se deteste ou les deux !! ;)
93. le complexe : ……bouarf, aucun.
94. la fierté : Une belle connerie mais aussi être moi !!
95. la série télé : Desperate Housewives
96. l'erreur : regretter. (ou ne pas être sincère, mais l’un entraine l’autre !!)
97. la boutique : euh….j’aime pô trop les boutiques…mais Promod.
98. le régime : aimer, échanger, profiter.
99. l'instrument : La basse.
100. la torture : oui, non, je sais pas, oui, non je sais pas, oui, non, je sais pas……

 

samedi 18 novembre 2006

Tout comme, tout pareil!!!!

Rose- La liste

 

Aller à un concert
Repeindre ma chambre en vert
Boire de la vodka
Aller chez Ikea
Mettre un décolleté
Louer un meublé
Et puis tout massacrer

Pleurer pour un rien
Acheter un chien
Faire semblant d'avoir mal
Et mettre les voiles
Fumer beaucoup trop
Prendre le métro
Et te prendre en photo

Jeter tout par les fenêtres
T'aimer de tout mon être
Je ne suis bonne qu'à ça
Est ce que ça te dé-çoit ?
J'ai rien trouver de mieux à faire
et ça peut paraître bien ordinaire
et c'est la liste des choses que je veux faire avec toi

Te faire mourir de rire
Aspirer tes soupirs
M'enfermer tout le jour
Ecrire des mots d'amour
Boire mon café noir
Me lever en retard
Pleurer sur un trottoir

Me serrer sur ton coeur
Pardonner tes erreurs
Jouer de la guitare
Danser sur un comptoir
Remplir un caddie
Avoir une petite fille
Et passer mon permis

Jeter tout par les fenêtres
T'aimer de tout mon être
Je ne suis bonne qu'à ça
Est ce que ça te dé-çoit ?
J'ai rien trouver de mieux à faire
Et ça peut paraitre bien ordinaire
Et c'est la liste des choses que je veux faire avec toi

ha ha
ha ya
ha ya
ha ha

Je sais je suis trop naïve
De dresser la liste non exhaustive
De toutes ces choses que je voudrais faire avec toi

T'embrasser partout
S'aimer quand on est saouls
Regarder les infos
Et fumer toujours trop
Eveiller tes soupçons
Te demander pardon
Et te traiter de con

Avoir un peu de spleen
Ecouter Janis Joplin
Te regarder dormir
Me regarder guérir
Faire du vélo à deux
Se dire qu'on est heureux
Emmerder les envieux.

 

 

 

 

Mes ptits!!!

Stage ces quinze derniers jours....

Par pitié!!! laissez moi y retourner!! Je veux pas aller à l'IUFM....Je veux pas.....

J'étais à l'école Croix rouge village dans le 13ème dans la classe des CM2!!

Et c'était une classe trop exceptionnelle on s'est régalé!! je veux pas les quitter!! on s'était instauré une petite vie commune qui allait bien...Ils vont trop me manquer les minots!! On a eu plein de jolis moments de vie entre les matières très scolaires, en art plastique par exemple, le chant, l'étude, ou encore les récrés...

Et la maistresse....la maitresse!! une maitresse exceptionelle, pleine d'entrain avec un petit grain de folie.

Enfin bref me suis régalée et puis j'espère que eux aussi mais je crois que oui!! en tout cas ma ptite solène m'a fait un joli pti cadeau souvenir qui reste désormais sur ma table de nuit:

Allez une ptite bise à tous et toutes!! je vous aime fort et puis ben....à bientot de toute façon!! ;)

Les affres de la vie.

Joseph d'Anvers- les amants

 

Les années folles sont derrière nous
On se croyait à moitié fous
Certains riaient à nos éclats
Quand d’autres n’y arrivaient pas

Des souvenirs au fond des yeux
Des rires enfouis et parmi eux
Ce que nous serons devenus
Des gens dont on ne souvient plus

Si je ne prends pas de détours
C’est pour résister à ces jours
Si je m’enferme à double tour
C’est pour t’écouter mon amour
Quand trop d’envies seront passées
Nous resterons seuls comme avant
Et le monde peut bien s’effondrer
Nous serons toujours des amants

On en veut à la terre entière
On se voudrait 6 pieds sous terre
Mais seul au monde on s’habitue
À préférer quand il a plu

À ces enfants que nous étions
À ces rêves auxquels nous croyions
À ces yeux pâles que j’ai croisés
À la vie qu’ils m’ont fait aimer



On en veut à la terre entière
On se voudrait 6 pieds sous terre
Mais seul au monde on s’habitue
À préférer quand il a plu

À ces enfants que nous étions
À ces rêves auxquels nous croyions
À ces yeux pâles que j’ai croisés
À la vie qu’ils m’ont fait aimer

Si je ne prends pas de détours
C’est pour résister à ces jours
Si je m’enferme à double tour
C’est pour t’écouter mon amour
Quand trop d’envies seront passées
Nous resterons seuls comme avant
Et le monde peut bien s’effondrer
Nous serons toujours des amants

Pour toi je suis devenu fou
J’ai mis les étoiles à genoux
Je suis ce gosse qui n’a plus peur
Tu es celle qui me tient debout

Je vois chaque jour en tes yeux
Les envies de nos matins blêmes
Ces yeux pâles qui me font tenir
Lever la tête et même sourire

Si je ne prends pas de détours
C’est pour résister à ces jours
Si je m’enferme à double tour
C’est pour t’écouter mon amour
Quand trop d’envies seront passées
Nous resterons seuls comme avant
Et le monde peut bien s’effondrer
Nous serons toujours des amants

 

mercredi 15 novembre 2006

Talleyrand

J'ai trouvé ces quelques jolis mots chez une miss fort sympatique:

http://mabulle.over-blog.org/

Je les ai trouvé fort beaux!! ;)

" Les femmes pardonnent parfois a celui qui brusque une occasion , mais jamais a celui qui la manque "

mardi 14 novembre 2006

Mr propre.

Merci de visiter mon très cher Fly notamment pour son dernier article mais pour le reste aussi!! Il a encore tapé très fort et franchement je vous le conseille!!

http://flytoxine.over-blog.com/article-4297367.html

 

 

 

Il y a du génie chez ce garçon!!!

Réflexion du soir.....

 

Des fois la vie c'est étrange....

Tu vis, zen tranquille, parce que tu sais que te prendre la tête ne rend pas heureux voire meme parfois rend malheureux et 9 fois sur 10 ne change rien. Alors tu relativises tout, t'avances et plein de choses magiques se posent à toi.

Et puis par moments tu prends conscience, tu prends conscience de ce qui t'entoure et du contraste avec toi... Les gens qui en sont à lutter pour survivre dans le temps ou tu te demande quelle est la couleur du chemisier qui s'assortira le mieux avec ton pantalon...et là c'est hard!

Tu te rends compte comme la vie de certaine personne est inconcevable comparée à la tienne...mais qu'ont tous ces gens dans leur coeur???

Ces gens qui sont enfermés en prisons entre 4 murs dont on dit qu'ils le méritent même si les conditions sont rudes, ces gens qui contre les lois se réfugient dans un pays qui n'est pas le leur et dans lequel commence alors un parcours de survie...Tous ces gens qui ne savent même pas que la vie peut être douce parce que leur quotidien c'est un combat....Tous ces gens en bas de chez nous qui vivent dehors,qui savent que rien ne changera,qui nous voient acheter des choses qui pour eux n'ont aucun sens et qui mourront là et seuls...Tous ces gens qui connaissent tout sauf notre vie et de quoi elle est faite, tous ces gens dont on imagine meme pas une seconde de leur existence.

Tous ces gens dans leur coeur et leur tête c'est comment?

J'arrive à me rendre compte de chaque once de chance qui caractérise mon existence et de combien il est injuste d'être aveugle, triste, et de ne pas profiter avec un grand sourire de tout ça! J'arrive je crois à me rendre compte de combien une vie est importante dans le potentiel qu'elle offre à chacun...

Mais quand cette vie n'a plus rien a voir avec ce que je connais...dedans, c'est comment?

dimanche 12 novembre 2006

Petite reflexion en plusieurs fois 2

Eloge de la paresse affinée (suite)


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par Raoul Vaneigem

Un directeur de banque, m’assure-t-on, s’est trouvé ruiné, abandonné de tous, couvert d’opprobre. Un coin de campagne l’accueille, il y cultive un peu de vigne. Un potager, quelques poules et l’amitié des ses voisins suffisent à ses besoins. Il y fait d’étonnantes découverte : un coucher de soleil, le scintillement de la lumière dans les sous-bois, l’odeur de la sauvagine, le goût du pain qu’il a pétri et cuit, le chant des alites, la conformation troublante de l’orchidée, les rêveries de la terre à l’heure de la rosée ou du serein. Le dégoût d’une existence passée à s’ignorer lui a donné une place dans l’univers. Encore s’agissait-il de savoir l’occuper.

La route n’est pas si facile que l’exclusion d’un monde qui vous exclut de vous-même suffise à s’y retrouver. S’il en était ainsi, il n’est pas un chômeur qui ne devînt poète des temps futurs.

Le chômeur, le plus souvent, ne s’appartient pas, il continue d’appartenir au travail. Ce qui l’a détruit dans l’aliénation de l’usine et du bureau persiste à le ronger au dehors comme la douleur d’un membre fantôme. Pas plus que l’exploiteur, l’exploité n’a guère la chance de se vouer sans réserve aux délices de la paresse.

Il y a de la malice, assurément, à en faire le moins possible pour un patron, à s’arrêter dès qu’il a le dos tourné, à saboter les cadences et les machines, à pratiquer l’art de l’absence justifiée. La paresse ici sauvegarde la santé et prête à la subversion un caractère plaisamment roboratif. Elle rompt l’ennui de la servitude, elle brise le mot d’ordre, elle rend la monnaie de sa pièce à ce temps qui vous ôte huit heures de vie et qu’aucun salaire ne vous laissera récupérer. Elle double avec un sauvage acharnement les minutes volées à l’horloge pointeuse, où le décompte de la journée accroît le profit patronal.

Bien, mais la question reste posée : quel plaisir peut-on prendre sans réserve s’il implique avant tout que soit gâté celui de l’autre ? Tu veux être obéi ? Cela ne sera pas, et j’en avance la preuve vivante en me dérobant à ta puissance, en brisant ce pouvoir qui te semble sinon éternel, du moins acquis pour longtemps.

Noble tâche que la subversion du travail ignoble, sans doute, mais travail ne vous en déplaise ! Vous voilà, comme le maître aux aguets du valet qui le vole, à paresser aux aguets du maître pour le mieux voler. La paresse ne s’entend pas de façon aussi furtive. Il y faut de l’aisance, comme dans l’amour. Qui est sur le « qui vive ? » ne vit point, ou médiocrement.

Quelle rancœur, de surcroît, à ne pas gâcher aussi salement qu’on le souhaiterait l’hédonisme des exploiteurs, si médiocre qu’il fût ! « Pendant que nous trimons, ils s’amplissent la panse », dit la chanson. Mais à l’exemple de ces curés paillards à qui le vieil anticléricalisme puritain reprochait de verser dans la débauche, l’hédonisme n’était-ce pas ce que les exploiteurs eussent réussi de mieux dans leur existence si leur terreur des exploités ne les avait condamnés à de hâtives et secrètes compulsions ? Le privilège des prolétaires s’émancipant et du travail qui les salarie et de ceux qui en tirent la plus-value, c’était précisément d’accéder à la jouissance d’eux-mêmes et du monde.

La jouissance et sa conscience, aiguisée à la parfaire, possèdent assez la science de se libérer de ce qui les entrave ou les corrompt ; demandez à ceux qui apprennent à s’aimer !

Ce qui est vrai de l’amour est vrai de la paresse et de sa jouissance. Nous sommes souvent loin du compte. Un reportage sur les paysans brésiliens privés de terres, alors que de grandes étendues demeurent en friche aux mains de propriétaires soucieux seulement d’en garder la propriété, les exhibait dans une longue marche de la misère, brandissant des croix, curés en tête, car l’Eglise les pourvoit quotidiennement d’une galimafrée de riz et de haricots. Par souci médiatique d’objectivité s’interposait, selon les lois du montage, un banquet où les propriétaires terriens se servant abondamment de saucisses et de côtes d’agneau arguaient de leur bon droit et protestaient contre les attaques dont ils s’estimaient les victimes.

Entre la misère des notables apeurés et l’apitoiement des dépossédés, on se prenait à penser que les premiers n’ont pas la jouissance de leurs terres parce qu’ils n’en ont que la propriété et que les seconds, à qui en reviendrait la jouissance, ne se mettent guère en disposition de jouir de quoi que ce soit.

La situation est moins archaïque qu’il n’y paraît. L’Europe voit aujourd’hui une classe bureaucratique racler les fonds de tiroir du capital afin de les faire fructifier en circuit fermé, sans investir dans de nouveaux modes de production. Et les prolétaires, à qui l’on a remontré que le prolétariat n’existe plus, excipent de leur diminution de pouvoir d’achat dans l’espoir qu’un grand mouvement caritatif suppléera à la suppression des acquis sociaux, aux baisses de salaires, à la raréfaction du travail utile et au démantèlement de l’enseignement, des transports, des services sanitaires, de l’agriculture de qualité, et de tout ce qui n’accroît pas par une rentabilité immédiate la masse financière mise au service de la spéculation internationale.

La seule utilité désormais reconnue au travail se limite à garantir un salaire au plus grand nombre et une plus-value à l’oligarchie bureaucratique internationale. Le premier se dépense en biens de consommation et en services d’une médiocrité croissante, la seconde s’investit en spéculations boursières qui prêtent de plus en plus à l’économie un caractère parasitaire.

L’habitude s’est si bien implantée d’accepter n’importe quel travail et de consommer n’importe quoi pour équilibrer cette balance des marchés qui règne sur les destinées comme la vieille et fantomatique providence divine, que rester chez soi au lieu de participer à la frénésie qui détruit l’univers passe étrangement pour scandaleux.

Un de ces ministres dont la machine administrative, à l’instar du gigantesque appareillage qui parasite la production de biens prioritaires, dévore des milliards, n’a pas craint de dénoncer, avec l’approbation des gestionnaires de l’information, ces nouveaux privilégiés que sont les allocataires de revenus minimums, les cheminots retraités, les bénéficiaires de soins de santé, bref des gens qui tirent plaisir de leur sommeil alors que les autres dorment pour un patron dont l’argent ne cesse de travailler.

Qu’il se soit trouvé des prolétaires, pourtant RMistes en puissance, pour acquiescer secrètement à la refonte sémantique des mots achetés par le pouvoir, n’est pas le simple effet de l’imbécillité grégaire. Il plane sur la paresse une telle culpabilité que peu osent la revendiquer comme un temps d’arrêt salutaire, qui permet de se ressaisir et de ne pas aller plus avant dans l’ornière où le vieux monde s’enlise.

Qui, des allocataires sociaux, proclamera qu’il découvre dans l’existence des richesses que la plupart cherchent où elles ne sont pas ? Ils n’ont nul plaisir à ne rien faire, ils ne songent pas à inventer, à créer, à rêver, à imaginer. Ils ont honte le plus souvent d’être privés d’un abrutissement salarié, qui les privait d’une paix dont ils disposent maintenant sans oser s’y installer.

La culpabilité dégrade et pervertit la paresse, elle en interdit l’état de grâce, elle la dépouille de son intelligence. Quelle plus belle occasion que les grèves pour suspendre ce temps où chacun court à ne s’attraper jamais, s’échine à être ce qui lui répugne et à n’être pas ce qu’il aurait désiré, mise sur la retraite, la maladie et la mort pour mettre fin à sa fatigue.

Un arrêt de travail devrait propager la bonne conscience de la paresse, encourager à ce repos salutaire qui épargnerait bien des frais de santé. Il n’y faut qu’un peu d’imagination. Nous nous croisons les bras, diraient les cheminots, nous instaurons la gratuité du temps et de l’espace et, pour votre délassement, nous allons nous relayer pour faire circuler les trains et vous permettre de parcourir la France entière sans rien débourser. Vous continuerez à gagner usines et bureaux ? À votre guise ! Peut-être apparaîtra-t-il à certains que la paresse est plus créative que le travail.

Mais non ! Avouer que la grève est une fête est une insulte à ceux qui persistent à trouver de la dignité dans l’esclavage du travail. Il faut, dans l’ordre des choses qui nous gouvernent, que la grève soit une malédiction, comme la paresse. On respire à regret un peu d’air frais avant de reprendre vaillamment la route de la corruption et de la pollution.

Petite reflexion en plusieurs fois 1

Je me suis souvent questionnée sur l'art de vivre ou tout du moins sur ce qu'il était pour moi. La réponse n'est pas toujours évidente mais une chose est sure pour moi: vivre c'est être heureux...lorsque ce n'est pas le cas on est pas vivant!!  Et souvent par voie de consequence donc j'ai étais taxée d'être paresseuse!! Mais aujourd'hui je trouve une reflexion interessante sur la question alors je vous la soumet (en tout cas la première partie car c'est très long!!)

Eloge de la paresse affinée


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par Raoul Vaneigem





Dans l’opinion qui s’est forgée à son propos, la paresse a beaucoup gagné au discrédit croissant dont s’est grevé le travail. Longtemps érigé en vertu par la bourgeoisie, qui en tirait profit, et par les bureaucraties syndicales, auxquelles il assurait leur plus-value de pouvoir, l’abrutissement du labeur quotidien a fini par se faire reconnaître pour ce qu’il est : une alchimie involutive transformant en un savoir de plomb l’or de la richesse existentielle.

Cependant, l’estime dont se prévaut la paresse n’en continue pas moins à souffrir de la relation de couple qui, dans la sotte assimilation des bêtes à ce que les humains ont de plus méprisable, persiste à accoler la cigale et la fourmi. Qu’on le veuille ou non, la paresse demeure prise au piège du travail qu’elle rejette en chantant.

Quand il s’agit de ne rien faire, la première idée n’est-elle pas que la chose va de soi ? Hélas, dans une société où nous sommes sans relâche arrachés à nous-mêmes, comment aller vers soi sans encombre ? Comment s’installer sans effort en cet état de grâce où ne règne plus que la nonchalance du désir ?

Tout n’est-il pas mis en branle pour troubler, par les meilleures raisons du devoir et de la culpabilité, le loisir serein d’être en paix en sa seule compagnie ? Georg Groddeck percevait avec justesse dans l’art de ne rien faire le signe d’une conscience vraiment affranchie des multiples contraintes qui, de la naissance à la mort, font de la vie une frénétique production de néant.

Nous sommes si pétris de paradoxes que la paresse n’est pas un sujet sur lequel on puisse s’étendre simplement, comme y convierait la nature si toutefois la nature pouvait s’aborder sans détours.

Le travail a dénaturé la paresse. Il en a fait sa putain dans le même temps que le pouvoir patriarcal voyait dans la femme le repos du guerrier. Il l’a affublée de ses faux-semblants, quand la morgue des classes sociales exploiteuses identifiait l’activité laborieuse à la seule production manuelle.

Qu’était-ce que ces puissants, ces souverains, ces aristocrates, ces hauts dignitaires sinon des travailleurs intellectuels, des travailleurs chargés de faire travailler ceux dont ils avaient « pris la tête » ? Cette oisiveté dont les riches se targuaient et qui nourrit séculairement le ressentiment des opprimés me paraît bien éloignée de l’état de paresse dans ce qu’elle offre d’idyllique.

Le beau prélassement que s’adjugent les infatués de noblesse aux aguets des moindres manquements, sourcilleux de préséances, attentifs à la valetaille masquant sa hargne et son mépris sous la servilité, quand il ne s’agit pas de faire goûter au préalable les mets assaisonnés par les maléfices de l’envie et de la vengeance. Quelle fatigue que cette paresse-là, et quelle servitude dans l’agrément constant d’une complaisance de commande !

Dira-t-on du despote qu’il s’arroge au moins le plaisir d’être obéi ? Piètre plaisir que celui qui, se payant du déplaisir des autres, s’avale avec l’aigreur qu’il suscite ! On conviendra que se tenir de la sorte au-dessus des tâches ignobles n’est pas de tout repos et ne favorise guère l’heureux état de ne rien faire.

 

Sans doute l’homme d’affaires, le patron, le bureaucrate ne s’embarrassent-ils pas, en dehors de leurs occupations, d’un train de domesticité plus importune que confortable. Je ne sais s’ils recherchent la solitude du sous-préfet aux champs mais tout indique chez eux une propension au divertissement plus qu’à l’oisiveté. On ne rompt point sans difficulté avec un rythme qui vous propulse de l’usine au bureau, du bureau à la Bourse et de la conférence-repas au repas-conférence. Le temps soudain vidé de sa comptabilité monnayée tourne au temps mort, c’est à peine s’il existe. Il faut avoir perdu plus que le sens moral, le sens de la rentabilité pour prétendre y entrer et s’y installer sans vergogne.

Passe pour le sommeil, véritable prescription médicale pour qui se jette chaque jour dans une course contre la montre. Mais qui osera, dans une guerre où chaque instant est exposé au feu nourri de la concurrence, lever le drapeau blanc d’un moment d’oisiveté ? Nous a-t-on assez rabâché le désastreux exemple des « délices de Capoue » où Hannibal, cédant à l’on ne sait quel envoûtement des sens, perd irrémédiablement et Rome et le bénéfice de ses conquêtes.

Il faut se rendre à l’évidence : dans un monde où rien ne s’obtient sans le travail de la force et de la ruse, la paresse est une faiblesse, une bêtise, une faute, une erreur de calcul. On n’y accède qu’en changeant d’univers, c’est à dire d’existence. Ce sont des choses qui arrivent.

 

 


Alors? c'est quoi qui rend plus heureux? ils ont pas l'air zen ? moi je les envie là!! Allons nous mitoufler un instant!!

Liberty!

WAHOUUUUUUUUUUU!!!!!!!!!!!!!!!!!

Folie du spectacle +1000000000000 milliards de milliers!!!

Voilà, Caroline est arrivée!! la belle et sublime bleue métallisée chic que j'attendais!!!

La voici donc de face

Et de dos, plutot bien foutue hein!!? ;)

Voili voilou!! garée juste devant la maison!! ma voitu!! la plus belle ;)

Juste derriere la voiture à papa, bien sage, garée rangée, c sa petite soeur: un peu plus petite un peu plus claire!! mais tout de même climatisée s'il vous plait!!! excusez du peu!!!

Ce qui ne m'empeche pas d'avoir une petite pensée avec un petit pincement au coeur pour mon ancienne titinette!! Ma zaza d'amour qui a trimbalé mes fesses et celles de pas mal de monde pendant plus de 4 ans!!!

Je t'aimais fort!!!

jeudi 9 novembre 2006

Foutez moi la paix!!!

Ode à tout ceux qui le matin serrent parce qu'on vient leur parler de patati et de patata; de truc sans interet, de truc dont on pourrait bien leur parler deux voire trois heures plus tard!! De ces grandes vérité de la vie qui n'ont aucun sens de toute façon avant au moins 10 heure du mat'!!!

Alors voilà!! VIVE le comatage du matin!!! et à mort les pipelettes matinales!! ( Matinale j'ai dit hein!!! parce que ma foi!! sinon je precherai contre ma paroisse!!!)

 

 

 

Déjeuner en paix

Musique: Stephan Eicher


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J'abandonne sur une chaise le journal du matin
Les nouvelles sont mauvaises d'où qu'elles viennent
J'attends qu'elle se réveille et qu'elle se lève enfin
Je souffle sur les braises pour qu'elles prennent

Cette fois je ne lui annoncerai pas
La dernière hécatombe
Je garderai pour moi ce que m'inspire le monde
Elle m'a dit qu'elle voulait si je le permettais
Déjeuner en paix, déjeuner en paix

Je vais à la fenêtre et le ciel ce matin
N'est ni rose ni honnête pour la peine
" Est-ce que tout va si mal ? Est-ce que rien ne va bien ?
L'homme est un animal " me dit-elle

Elle prend son café en riant
Elle me regarde à peine
Plus rien ne la surprend sur la nature humaine
C'est pourquoi elle voudrait enfin si je le permets
Déjeuner en paix, déjeuner en paix

Je regarde sur la chaise le journal du matin
Les nouvelles sont mauvaises d'où qu'elles viennent
" Crois-tu qu'il va neiger ? " me demande-t-elle soudain
" Me feras-tu un bébé pour Noël ? "

Et elle prend son café en riant
Elle me regarde à peine
Plus rien ne la surprend sur la nature humaine
C'est pourquoi elle voudrait enfin si je le permets
Déjeuner en paix, déjeuner en paix

 

 

 

Pti coup de poésie- ZeM BoCou

En Ville - Joseph d'Anvers

 


je suis parti, ne m’en veux pas
c’est trop petit pour moi ici
je suis parti et c’est comme ça
on ne retient pas ceux qui s’enfuient

des comme toi j’en connais des tas
qui seront toujours mieux ici
qui trouvent que là-bas c’est trop froid
et nous laissent fuir avec dépit

mais moi je ne suis pas de ceux-là
j’aurais péri petit à petit
tu sais bien qu’on ne se refait pas
on ne raisonne pas ceux qui s’ennuient

j’ai la vie devant toi
j’ai la vie après toi

bien sûr tu sais qu’il restera
toujours une part de moi ici
celle qui sommeillait dans tes bras
et n’osait s’avouer jusque-là

des choses que je ne te dirai pas
qui n’auraient pas leur place ici
des choses qui sont trop loin de toi
quand on s’en va, c’est qu’on s’enfuit

j’ai la vie devant toi
j’ai la vie après toi

des comme moi il y en a des tas
qui vivent ici dans cette grande ville
des fois je me dis qu’il n’y a que ça
Paris est une province enfuie

je suis parti, ne m’en veux pas
c’est trop petit pour moi ici
je suis parti et c’est comme ça
on ne retient pas ceux qui s’enfuient

j’ai la vie devant toi
j’ai la vie après toi

 

 

jeudi 2 novembre 2006

Mais qu'est ce qui la fait courir!!

Dernierement rentrée à l'iufm, je prépare l'epreuve du 1500 m. A la vue du barème, la décision a été prise qu'une remise en forme s'imposait.... Et du coup moi....qui ai fait du sport pour la derniere fois il y a 12 ans je crois.... je me retrouve a aller courir tous les deux jours, voire tous les jours par période depuis bientot 2 semaines!!

Je commence a m'ameliorer ce qui n'est pas trop difficile vu le niveau d'où je partais!! je cours désormais entre une demi heure et trois quart d'heure en integrant un peu de fractionné (vous savez le truc qui fait cracher un poumon).

Mon max est pour l'instant 90% de ma capacité cardiaque maximum.... On fait évolué tout ça et on en reparle dans quelques mois quand en plus on integrera abdos et fessiers!! ;) Wahou!!! ça fait siouper peur lol!!!

C'est pas encore gagné hein!!! Mais j'ai des projets fort ambitieux!! notament Marseille-cassis l'an prochain!! lol et le plus beau c'est que j'y crois!!!